SÉQUESTRATION DU CARBONE NATUREL

 

Grâce à la photosynthèse, la biomasse lignocellulosique capture le carbone atmosphérique, sous la forme de CO2, de la manière le plus rentable,  écologique et renouvelable.

 

L’approvisionnement global en biomasse est largement suffisant en n’utilisant que la partie lignocellulosique (non-alimentaire) pour fournir des énergies et des produits renouvelables pour notre société.

 

Les types de biomasse lignocellulosique en grande partie inutilisés sont présentés ci-dessous et peuvent être séparés par le procédé LEEBio™.

LES PAILLES DE CÉRÉALES

 

Les céréales concernent toutes les variétés de blé, maïs, riz, orge, seigle, avoine, etc…

 

La FAO (Food and Agriculture Organization) prévoit une récolte annuelle de céréales d’environ 2,5 milliards de tonnes par an.

 

Cela signifie que près de 1 milliard de tonnes de pailles pourrait être mis à disposition et valorisés pour les énergies, carburants et produits renouvelables avec le procédé LEEBio™.

LES CULTURES ÉNÉRGETIQUES

 

C’est le type de biomasse lignocellulosique le plus facile à récolter et à produire.

 

Les cultures énergétiques nécessitent peu d’engrais, peu de pesticides et elles prospèrent sur des sols pauvres ou dans des pâturages extensifs.

 

Parmi les cultures énergétiques très répandues, le Miscanthus est considéré comme la ressource carbone la plus appropriée pour fournir de l’énergie et des produits au monde entier

 

LE PALMIER À HUILE

 

La biomasse lignocellulosique générée par la production des industries de l’huile de palme est de loin la culture la plus prolifique en termes de captation CO2 atmosphérique sur Terre.

 

Avec les EFB et les PKS, la production lignocellulosique industrielle de ces palmiers est constituée par les feuilles sèches (Palm Fronds) et les troncs (Palm Trunks).

 

Jusqu’à aujourd’hui, près de 300 millions de tonnes sèches sont produites annuellement pour être laissée au sol et pourrir en engendrant pollution et risques divers associés.

LA BAGASSE DE CANNE À SUCRE

 

Près de 2 milliards de tonnes de canne à sucre sont produites annuellement dans le monde. Environ 30% de la canne à sucre est composée, après extraction, de matière fibreuse lignocellulosique appelée bagasse.

 

Ce sont donc plus de 200 millions de tonnes sèches de bagasse de canne à sucre qui sont collectées chaque année et utilisées en partie pour fournir l’énergie thermique nécessaire aux usines sucrières.

LES RÉSIDUS DE BOIS

La FAO rapporte une production mondiale de bois sec d’environ 4 milliards de tonnes par an.

 

En foresterie industrielle, 1/3 du bois reste sur place et devient un résidu lignocellulosique non valorisé.

 

L’avantage de ce résidu est d’être disponible sans changer le système d’exploitation actuel des sites industriels.

NCCSU™ et LEEBio™

 

L’ensemble des résidus lignocellulosiques présentés ci-dessus assureront l’approvisionnement global et nécessaire en énergies et matières premières tout en respectant le cycle naturel du carbone par le concept du NCCSU™.

 

Le procédé LEEBio™ raffine ces produits avec un impact économique et écologique sans précédent.

 

Sans utilisation d’énergie ou de ressource d’origine fossile.